Organisme certifié Qualiopi pour ses actions de formation
QUALIOPI remplace DATADOCK
N'hésitez pas à demander une prise en charge
Etablissement d’enseignement supérieur privé, fondé en 2002 , l’Institut Rhônalpin d’Analyse Transactionnelle et approches pluridisciplinaires a pour objet principal la formation des adultes aux concepts et techniques de l'analyse transactionnelle ; formation continue, organisation de séminaires et toutes activités liées à la formation des adultes dans le domaine des sciences humaines.
L'institut forme à l'Analyse Transactionnelle des psychothérapeutes et des personnes qui se forment pour devenir des professionnels des métiers de la psychothérapie.
L'institut forme à l'Analyse Transactionnelle des personnes de tous métier qui veulent développer leur compétence.
Eric Rolland, directeur
Dans le cadre de l’Institut Rhônalpin d’Analyse Transactionnelle et Approches pluridisciplinaires, nous avons le plaisir de proposer, pour 2023-2024, les activités suivantes :
En règle générale les inscriptions sont prises par ordre d’arrivée. Elles doivent être accompagnées d’un bulletin d’inscription, d’un chèque d’arrhes de 25% du montant du tarif approprié libellé à l’ordre de l’Institut et non restituable un mois avant le début de l’action de formation.
"L’analyse transactionnelle (A.T.) est une théorie de la personnalité humaine, une théorie du comportement relationnel et social, et une approche complète de psychothérapie fondée par Eric Berne (1910-1970), médecin, vers la fin des années 1950. L’une des qualités qui font l’attrait de l’A.T. est qu’elle s’applique à des situations aussi diverses que la psychothérapie, la guidance, l’éducation, le conseil en organisation et la formation des managers."
Définition proposée par l’Association Européenne d’Analyse Transactionnelle (EATA)
Un des dangers majeurs de la psychothérapie, c’est quand un thérapeute est trop dépendant d’une seule théorie qui devient alors une doctrine immuable et non critiquable. Dans ce contexte, si la thérapie ne fonctionne pas, c’est le patient qui est pointé du doigt comme résistant, non-engagé…. Cette situation, sans qu’elle entraîne forcément des échecs aussi importants que celui que j’ai pu vivre avec Samantha, peut réduire l’intérêt de la thérapie à 0. A un moment donné, le thérapeute doit être capable de dire « quelque chose ne fonctionne pas de mon côté ». d’après mon expérience en tant que superviseur, se remettre en question, s’intéresser et s’ouvrir à d’autres techniques et modèles théoriques, c’est à la fois la meilleure défense pour les patients mais aussi pour conserver un vrai dynamisme de travail bienfaisant à tous les niveaux.
William Cornell, interview psychologie magazine, 20 novembre 2015